Alexandre Marshall en avait plein le casque, pour revenir à Anarme pour trouvé un alcool potable au marché publique, il traversa la campagne pendant 3 jour, évitant des groupes de bandit, des battailes entre talionistes et impériaux et des assassins, Tout sa pour se retrouvé à un marché presque désert que les marchands on plus ou moins déserté, faute de quelque chose à vendre ou par peur de quitté leur maison. Les rue son maintenant peu fréquenté, les rare personnes qui passent reguarde toute les autre de travers, espèrent que se ne soit pas un voleur, même les mendiants se cachait.Toute façon, les gens on raison de se caché, l'anarchie et le chaos causé après la tentative d'assassina de Raymon avait mit tout le monde sur les talons, certain soupçonne Simon, d'autre des bandit qui veulent pas un retour de stabillité et d'autre pense que le Talion en est responsable. Mais une chose que tous le monde on la même pensé est que les auberge sont un endroit plus ou moin sûr et que la bière et le vin est le meilleur remède à cette folie. Donc, Marshall se trouva une auberge dont l'odeur indiquait très bien sa catégorie ( miteux ). Alexandre trouva une table seul.
- Servé moi du vin s.v.p, le meilleur.
La serveuse, une femme de 76 ans obesse qui croit encore quel charme des jeunes homme comme si elle en avait 20, vient lui servir une chope d'un vin rouge dont il se demandait sérieusement si s'en était avec un sourire plutôt malaisant qui lui fit baissé les yeux vers le brevage. Il le but d'une gorgé, laissant le liquide l'écoeurré mais laissant l'effet désiré faire le travail d'oublié le goût infect, décidémant, les bandits pillait les caves de leur meilleur vin, c'était à pleuré.
- Par Crom un autre!
Il passa la journnée et la nuit à boire se «vin», chaque gorgé était un torture et une libération, torture car le goût vous tordait l'estomac, la libération car avec la tête qui tourne et les idées embrumés, le passé fait moins surface et la réalité semblent plus supportable. Il était le millieux de la nuit quand l'aubergiste en avait assez et la balancé dehors avec l'aide de ses fils, dans la rue boueuses et froide. Marshall se leva titubant dans la rue. Criant et maudissant à tut tête, réiveillant au passage un bébé et émeutant un chien.
- Pourquoi m'avez balancé dehors? J'veux vot vin à mourir tellement qui est dégueulasse par Crom! Que Crom vous m'disse, aubergiste, se vin infect, les Kailonise, le Talion, Simon, les Doenn et les Von Casti. Maudit soit-il... les bandit les assassin roux...
Marshall en pouvait plus, sa tête lui tournait trop et le noir ne règlait pas le problème, avança avec peine dans la rue, éclairé par quelques lanternes seulement, espèrant recontré quelqu'un peut-être?
- Servé moi du vin s.v.p, le meilleur.
La serveuse, une femme de 76 ans obesse qui croit encore quel charme des jeunes homme comme si elle en avait 20, vient lui servir une chope d'un vin rouge dont il se demandait sérieusement si s'en était avec un sourire plutôt malaisant qui lui fit baissé les yeux vers le brevage. Il le but d'une gorgé, laissant le liquide l'écoeurré mais laissant l'effet désiré faire le travail d'oublié le goût infect, décidémant, les bandits pillait les caves de leur meilleur vin, c'était à pleuré.
- Par Crom un autre!
Il passa la journnée et la nuit à boire se «vin», chaque gorgé était un torture et une libération, torture car le goût vous tordait l'estomac, la libération car avec la tête qui tourne et les idées embrumés, le passé fait moins surface et la réalité semblent plus supportable. Il était le millieux de la nuit quand l'aubergiste en avait assez et la balancé dehors avec l'aide de ses fils, dans la rue boueuses et froide. Marshall se leva titubant dans la rue. Criant et maudissant à tut tête, réiveillant au passage un bébé et émeutant un chien.
- Pourquoi m'avez balancé dehors? J'veux vot vin à mourir tellement qui est dégueulasse par Crom! Que Crom vous m'disse, aubergiste, se vin infect, les Kailonise, le Talion, Simon, les Doenn et les Von Casti. Maudit soit-il... les bandit les assassin roux...
Marshall en pouvait plus, sa tête lui tournait trop et le noir ne règlait pas le problème, avança avec peine dans la rue, éclairé par quelques lanternes seulement, espèrant recontré quelqu'un peut-être?